Dans ce deuxième recueil de nouvelles, André Martin continue d’évoquer – à la manière de Pagnol – des souvenirs d’une enfance bénie dans la région de Ouégoa, dans le nord de la Nouvelle-Calédonie.
Cette période heureuse et fondatrice met en lumière le fleuve Diahot et ses collines, des paysages enchanteurs et des animaux attachants. L’enfance si bien chantée nous parle et atteint l’universel par sa douceur, ses péripéties et son symbolisme. Une ode à un temps révolu mais essentiel.