« La brève, c'est comme un suppositoire. On force un peu pour que ça rentre... Et on espère que ça va remonter au cerveau » - D'une plume mordante et d'une liberté jouissive, Didier Lucien Poppé chatouille allégrement les susceptibilités dans ce second recueil de brèves. Moqueur, il croque de son écriture caustique les biais de la société : amour, armée, connerie humaine, éducation, histoire, politique, religion ou sport, aucun domaine n'est épargné. Et pourquoi se priver ? Problèmes, absurdités, mieux vaut en rire il paraît...