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Retrouvés dans la famille d'Ozeré, ces carnets et lettres forment un ensemble novateur pour l'histoire de la déportation en Nouvelle-Calédonie, où Théodore Ozeré, après sept années de captivité, est mort à la veille de l'amnistie générale. Républicain pur et dur, homme droit et prudent, il avait été déporté en Algérie à la suite du coup d'état de Napoléon III. Il livre dans ses carnets ses pensées et ses sentiments, décrit la vie des déportés, cite des exemples au fil d'un récit sincère qui n'était pas destiné à être publié. C'est une contribution importante à l'histoire de la Commune.