La Nouvelle-Calédonie est souvent qualifiée de « Terre violente ». Les auteurs réunis ici ont voulu vérifier la véracité de cette affirmation. Ce prisme des phénomènes conflictuels, propre à élaborer une histoire à la fois sociale, culturelle et anthropologique, leur permet de faire apparaître le poids des héritages coloniaux, et les filiations avec d'autres territoires océaniens.