L'auteur fait revivre, dans cet essai à l'écriture soignée et incisive, la souffrance et l'espoir de milliers d'exilés aux antipodes : ces oubliés de l'histoire que furent les communards en Nouvelle-Calédonie. Un ouvrage complet et d'une terrifiante précision, tant géographique que sociologique ou politique
Un poème émouvant sur les liens entre la terre de Nouvelle-Calédonie et une étrangère qui n’en est vraiment plus une. La vignette de couverture a été dessinée par Roger Boulay.
Witi Ihimaera, écrivain maori, de Nouvelle-Zélande, lui-même grand kaitiaki (gardien du monde) a écrit ce texte magnifique, traduit de l'anglais par Nathalie Rodriguez et Anne Magnan-Park, publié à l'occasion du Salon du livre océanien de Rochefort de 2015.
Après le succès de sa première pièce « Fin mal barrés ! », la journaliste Jenny Briffa signe un second volet tout aussi jubilatoire sur les maux de la société calédonienne et les errances de sa classe politique.
« La morale et l’action » de Philippe Legorjus écrit avec la collaboration de Jean-Michel Caradec’h. Fixot, 1990. Ouvrage d’occasion, état d’usage.
Nouvelle-Calédonie, 1878. Nouméa voit débarquer la jeune Armande Alavail qui rejoint son vieux communard de père, un des plus anciens locataires de ce « paradis » de la déportation. Quelques semaines plus tard, « L’Héroïne » amène dans ses soutes, Danclade, le révolutionnaire tant honni et redouté. Une idylle naît sous les palétuviers de « l’île...