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« Il n’est pas vide de sens, mais au contraire, le suprématisme naît d’une réflexion sans cesse et d’un détachement du corps, qui sert à sentir les ombres existantes intériorisées. C’est une orientation correcte d’une figure thématique ».
« La connaissance du fin est l’aboutissement d’une connexion avec son âme. Le niveau de l’art dans un suprématisme, imprégnant l’intrinsèque des entrailles angoissées dans une neutralité cherche la sortie pour dégorger le mental de l’ego ».
« Souvent le secret de ces génies d’enfants parvient d’un gain dans un fin d’une vieille conscience. Leur silence intérieur exige à gérer la maîtrise de leur savoir avancé afin que leur connaissance demande à être dite. Comment peut-on faire si l’attention des autres n’y est pas ? La devise de l’expression de ces enfants est basée sur la fragilité des impulsions connectées sans cesse à l’abri du danger. Trouver une place dans un monde d’enfants où l’incompréhension existe, le fin du fin gravite l’échelon de la diplomatie, afin d’y positionner l’acceptation d’autrui ».