Moi, Jean Guillou, Second chirurgien de « L’Astrolabe » (occasion)

Voyage de Lapérouse (1785-1788)

SECHI-OCCAS

Le 1er août 1785, les deux navires « La Boussole » et « L’Astrolabe », commandés par le Comte de Lapérouse quittaient la rade de Brest pour l'un des derniers grands voyages de découverte du siècle. Ils ne revinrent jamais au port… A bord de « L’Astrolabe », Jean Guillou, second chirurgien du bord, entame la rédaction d'un journal qui retrace les différentes étapes de ce voyage tragique, jusqu'à son épilogue, resté mystérieux avant la découverte de ce témoignage…

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Support Livre d'occasion
Auteur Jean Guillou
Éditeur L'Etrave
Genre Récits
Date 1999
Collection Les mers du Sud
Tags Histoire maritime, La Pérouse, navigateur, Pacifique, Salomon
Format Format 15,5 x 22 cm, broché, 310 pages

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Une histoire vraie ? Première question du lecteur. Une imposture ? Surtout pas ! Mais plutôt un récit historique qui emprunte une voie parallèle, mais proche de la réalité. L'auteur, Jean Guillou, ancien marin natif des Côtes d'Armor, après s'être découvert un homonyme animé par la même passion de la mer et de l'aventure, a refait presque toutes les escales de Lapérouse dans son voyage de circumnavigation. Il a participé dans le cadre de l'Association Salomon à trois expéditions de fouilles sous-marines à Vanikoro. Il est allé plusieurs fois dans cette île qui vit la disparition de Lapérouse et de ses compagnons en 1788. Il a recherché des traces des disparus en Australie. Nul mieux que lui ne pouvait interpréter le destin funeste de son alter ego et de ses deux cents compagnons. Jusqu'à Botany Bay, le sort de l'expédition ne peut être évoqué que par les rapports de Lapérouse (groupés dans le livre du Général Millet Mureau paru en 1797) et les rapports et lettres personnelles des participants. De nombreux livres sont issus de ces documents. Par contre, le naufrage, la survie et la mort n'ont eu pour témoins que des indigènes dont un petit nombre existait encore quand le Capitaine Dillon découvrit Vanikoro en 1827. Le récit de Jean Guillou est une avancée concrète dans le lancinant « mystère Lapérouse » qui dure depuis plus de deux siècles.