Dans le tumulte de la joie

9782378270704 TUJOI

Dans le tumulte de la joie est le récit d'un homme qui cherche à se connaître en traversant toutes les expériences qui lui sont données de vivre. Eloge de la vie sitôt qu'on cesse de vouloir la refuser, ce livre percutant nous protège contre les tentations du désenchentement et prône une philosophie de la joie dont nous sommes les seuls créateurs.

More details

Price:

2 500 XPF tax incl.

Shiping cost

Accessories

Data sheet

Auteur Thierry Charton
Éditeur Spinelle
Genre Romans
Date 2019
EAN 13 9782378270704

More info

« Je pénètre dans un sanctuaire idéologique, premier lycée kanak. D’emblée, le sauvage m’impressionne. La forêt pousse en pagaille. Les arbres sont des gratte-ciels, des ascenseurs à oiseaux. Les odeurs, sous la canopée, c’est du blaire en extase. Les hommes se fabriquent dans les graines et naissent dans les fleurs. La nature est gorgée de nickel. Les montagnes en suintent à ciel ouvert pour des millions de dollars. Je loge dans un bloc de studios en compagnie d’autres profs. Ma fenêtre donne sur des vallonnements somptueux. La cambrousse, c’est des fleurs en essence qui tombent du ciel en goutte à goutte. La lune se hisse sur un azur d’or. La nuit est une machine à lucioles. Ca me colle le vertige. J’en chiale tout seul. Pas la berlue. Mes yeux, c’est pas rien comme vision fantastique. Le cœur ne bat que pour ça, la beauté, rien que la beauté. Elle rachète toutes les saloperies du monde et les hommes avec. »

« J’avais envie de danser en vous lisant (...)

Des phrases saisissantes, des sauts d’images comme dans un film qu’on passe au projecteur, des sortes de ratés volontaires qui rendent plus percutant le fil des phrases. Un torrent qui dévale sa pente, mais tenu dans un lit que bien d’autres crues semblent avoir accidenté. Quelque chose qui déborde sans ravager. (...)

Et bien sûr cette âpreté de l’écriture qui se cherche, qui échoue, rebondit, s’invente.

Voilà quelques impressions. Pour vous remercier d’avoir persévéré à écrire !

J’espère que vous ne vous arrêterez pas là...

Avec ma vive sympathie, Patrick Autréaux »