Yannick Prigent nous raconte, avec truculence et émotion, plus d’une trentaine d’histoires de son enfance, passée dans le « quartier chinois » de Nouméa. Ce quartier était en réalité peuplé de seuls Tonkinois, descendants d’une main-d’œuvre immigrée, traitée en esclave. À cette époque, la France venait de perdre la bataille de Dien-Bien-Phu…